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Jeux funéraires
#1
Jeux funéraires
Original in french
transcription in english
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#2
what?
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#3
jeux funéraires (french)
Le maître de l'école gladiateurs vient de décéder.

Pour l'occasion, son fils a décidé de l'honorer par des jeux funéraires pour honorer sa mémoire pour préparer son voyage.

Les corps des gladiateurs choisis l'accompagneront dans son dernier voyage.

Les gladiateurs plutôt jeunes mais déjà bien formés et bien battis, se battront devant un public restreint d'amis et de notables dans l'arène privée.

Le fils souhaite des sacrifices, et il souhaite que chacun des jeunes mâles offre tout d'abord sa semence qui sera répandue sur le corps musclé de son père un ancien gladiateur lui même.

Les dix gladiateurs choisis entrent donc entièrement nus dans l'aire de combat où a été dressé le bûcher funéraire au sommet duquel trône son père corps dénudé, dont on devine encore la musculature, en pagne dont les yeux ont été recouverts d'une pièce et la bouche serrant également une autre pièce pour le passage.

Les gladiateurs s'alignent sans arme et le fils du maître les passe en revue et chacun l'un après l'autre à sa demande, se saisi de son membre et le travaille jusqu'à ce qu'un soupire de plaisir sorte de sa bouche et qu'une semence épaisse gicle. Celle-ci étant recueillit dans une vasque qui se remplie lentement. Le fils est déjà comblé et répand lui même le contenu sur le rose de son père.

Puis, il fait donner cinq tridents et filets et cinq glaives et boucliers aux gladiateurs.

Les paires se forment aussitôt et les convives s'écartent pour que les mâles soient à leur aise pour se mouvoir. simplement une ligne de d'esclave torse nue est alignée entre les spectateurs et les combattants au cas où les armes déviaient.

Le fils du maître, lance le début des combats.

Les combattants se mettent aussitôt en position et les duels commencent.

Des cinq rétiaires, 3 seulement sont déjà réellement des rétiaires et le fils les a vu combattre  et vaincre sans ménagement leur adversaire, leur laissant soit la vie sauve ou leur donnant méthodiquement la mort.
De ceux qui ont les glaives idem dans les mâles se trouvent des rétiaires mais sans leur armement favori.

Mais le fils du maître se chargera d'offrir les sacrifices car sa volonté est qu'il n'y ait pas de survivant.

Les combats s'engagent et les gladiateurs se mouvent avec beauté et se tâtes et se matent pour le moment, leur membre frappant contre l'intérieur de leurs cuisses s'excite naturellement et pour certains se tend, ce qui rend plus excitant le spectacle.

Déjà, on peut repérer les couples dont les rétiaires sont habitués, en face d'eux, les mâles résistent, et dans le premier des couple en face c'est un rétiaire mais sans trident. Les deux mâles le connaissent biens mais là le rétiaire n'aura aucune pitié, Il joue avec son filet et son trident et rapidement son adversaire même s'il se défend bien a du mal à éviter les multiples morsures légères mis handicapantes  qui lui sont infligées sr les jambes par les dents du trident. Il sautille mais malgré de attaques éclaires son glaive est toujours détourné par soit les dents du trident soit hampe tandis que le rétiaire se vrille et se plaque contre le bouclier pour se protéger. Le rétiaire finalisant sa riposte par des coups portés sous le bouclier aux membres inférieurs. le jeux continue encore plusieurs minutes mais le gladiateur au glaive commence à ressentir les blessures et est de moins en moins stable sur ses membres blessés qui suintent de filets de sang. le rétiaire le regarde avec avidité excité et d'un coup simule une nouvelle attaque vers l haut de la poitrine. Le gladiateur aussitôt soulève son bouclier, et arme son glaive, mais le rétiaire fait riper son trident contre la protection. Les dents glissent contre le bouclier et se fraie un chemin en dessous de la protection tandis que le glaive part en avant. 
Le rétiaire se vrille et d'un coup de hampe écarte la lame tout en dirigeant son trident contre le bas ventre du mâle. Et là le rétiaire fait un bond en avant, le rident plongeant dans le bas des abdominaux du gladiateur qui aussitôt tend la tête tandis qu'il sent les fers plonger jusqu'à la garde dans son bassin. Il se plie en deux laissant tomber son glaive. sa main droite venant se tenir les muscles maintenant ensanglantés, Il se fige avant de tomber à genoux tout en se protégeant avec le bouclier. Là, le rétiaire, avec son trident écarte le bouclier et tandis que sous lui le gladiateur tend le bras droit vers lui, Il lui plonge le trident dans la poitrine. Un son rauque sort de la bouche ouverte du gladiateur qui se raidit. Le rétiaire alors d'un coup de pied écarte le corps tandis qu'il arrache le trident. le gladiateur s'effondre d'une masse à la renverse les yeux ouverts figés.

Les autres gladiateurs sont également en plein combat, la danse des corps est belle, le public et le fils du défunt admirent.

Dans la seconde poule de gladiateurs, le rétiaire est lui peu habitué à son armement car habituellement il est un thrace, il  attaque et plante plusieurs fois les dents de son trident dans le bouclier qui plusieurs fois percé résiste, le secutor a de la chance car son bras n'est pas atteint par les fers, il résiste bien et laisse son adversaire s'exciter. Il attaque à  son tour mais sa lame est dégagée à chaque fois par la hampe du tient qui la dévie de sa course. Le secutor continue et est plus que mobile, il recule pour forcer le rétiaire à avancer sur lui jusqu'à ce que son dos touche presque la barrière d'esclaves qui protège l'assistance.
Le rétiaire avance et tente de ruser et d'atteindre le secutor aux membres inférieurs, mais le gladiateur se baisse et pare avec le bouclier. e rétiaire se redresse et recule en se cambrat quand le glaive plonge vers lui et lui égratigne le centre des ses deux pectoraux. le rétiaire soulève à plat  en se cambrant la hampe du trident et dans un mouvement de rotation écarte le glaive sur sa gauche puis flanque un coup de pied dans les parties du secutor qui se plie et pousse en cri rauque en reculant. Alors le rétiaire se jette sur lui trident en avant. Mais le secutor réagit bien, il se vrille et fait riper les dents cotre le bouclier. Le rétiaire dans sa fougue pousse sur son arme et avance jusqu'à être en corps à corps. Là on entend un esclave gémir quand les dents du trident lui perfore la poitrine. Le coup est mortel et l'esclave s'effondre d'une masse tandis que le rétiaire retire son arme. Mais il est en corps à corps et le secutor en profite, Il se protège avec le bouclier tandis qu'il arme son glaive. Le rétiaire ne peut rien faire et se soulève sur la pointe des pieds quand le glaive lui remonte des abdominaux dans la  poitrine. Le secutor retirant aussitôt sa lame, un flot de sang gicle de l plaie tandis que le rétiaire reste debout bouche grande ouverte épaules en avant bras resserres, mais lentement il titube et tombe à genoux, Le secutor alors l'achève ne lui tranchant la gorge. Le sang gicle d'un coup de la gorge ouverte du mâle qui tombe face contre terre à son tour.

Dans la troisième paire, les deux combattants se battent avec hargne et précision, les coups pleuvent parés de part et d'autre, les muscles dessinés et chauds des mâles font l'admiration des  invités qui encouragent les deux mâles. Ils avancent chacun leur tour et reculent l'un après l'autre forçant leurs mouvements à être plus brefs et le plus précis possibles. Ils se battent bien, mais le rétiaire fait l'usage de son filet qui vient voler par dessus le secutor une première fois. Le mâle évite une première fois habillement l’encerclement par les mailles et fait un bond de coté tandis que le rétiaire ramène à lui son filet et le réarme tandis qu'il lance son trient qui est paré et détourné par le glaive. le rétiaire à son tour pare le glaive et le bloque tandis qu'il soulève son talon et frappe le secutor au bassin avec son talon. Le sécurité accus e  coup et se plie en reculant. le filet alors vole de nouveau et cette fois-ci réussit à emprisonner le corps du secutor qui recule mais ne peut si libérer. le rétiaire lui fauche les deux jambes avec le trident et le secutor tombe sur les fesses à la renverse. le rétiaire alors avance sur lui et arme son trident. Il plonge d'un coup le trident en direction du secutor. Alors on entend deux cris rauques et profonds retentir. Le trident s'enfonçant dans le corps du secutor qui s'est redressé et a réussi a extraire le glaive des mailles. le glaive alors à plongé d'une traite dans le milieu des abdominaux du rétiaire qui s'est littéralement empalé dessus. Le secutor retombe sur le dos tandis que le rétiaire tombe à genoux sur lui, genoux de part et d'autre de son corps avant de s'effondrer et s'allonger sur lui. Les deux corps sont pris de convulsions et les deux mâles s'éteignent dans leur dernière étreinte.

Dans la quatrième poule, le rétiaire st expérimenté et le sécurité peu habile du manque d'habitude de la manipulation du glaive. le rétiaire le fait jongler et bondir à sa merci et s'amuse avec excité il bande à vue d’œil et le trident fait du mal au secutor en le piquant délicatement pour le blesser et le faire souffrir. le secutor crispe ses mâchoires et tente des attaques mais il sait qu'il n'a pas le dessus et se sent affaibli par les piqûres qui lui laisse des filaments de sang suinter le long de ses muscles chauds. le rétiaire continue son jeu et fait danser le secutor encore plusieurs minutes puis d'un coup de filet lancé à l’horizontale,  le rétiaire réussit à entourer le jambes du secutor, Là le rétiaire d'un coup de trident bien placé contre le bouclier, force le secutor à se cambrer. Le rétiaire avance sur le secutor en déséquilibre qui tente de le frapper, mais le rétiaire tire le filet et le secutor s'effondre d'une masse sur le dos. Le rétiaire sans attendre est à la verticale sur lui et le trident plonge dans la poitrine, les dents plongent dans les pectoraux, brisant les cotes et s'enfoncent d'une traite dans la poitrine du secutor qui tend la tête et ouvre grand la bouche et les yeux. Le cœur est traversé et le rétiaire remue le trident pour achever sa victime qui crache tout son sang. Le secutor expire bras et jambes en croix

Dans la cinquième poule, le secutor est habile et très agile, il prend le dessus et joue de son bouclier et de son glaive pour parer et repousser le rétiaire qui se bat avec acharnement mais recule pour tenter d'être à l'aise.
Le rétiaire virevolte sur lui même mais le secutor ne lui donne pas l'occasion de le blesser.  Le Secutor recherchant le corps à corps, le rétiaire lance son trident et n'atteint encore pas sa cible, il tente d'utiliser son filet, mais le sécurité le plaque contre le sol fermement, forçant le rétiaire à se baisser. le rétiaire alors tente de piquer qu ventre le secutor, mais d'un coup de bouclier vers le bas, le secutor écarte ses deux jambes et le trident passe entre ses jambes. le secutor alors donne un violent coup de pied dans le plexus du rétiaire qui se soulève sur  pointe des pieds en se pliant en deux, souffle coupé. le secutor est maintenant contre lui et lui remonte un fois son genoux dan les couilles puis une nouvelle foi son genou dans le milieu des abdominaux. Le coup est si puissant que le genou semble traverser le ventre du rétiaire. le rétiaire alors s'effondre et roule sur le sol pour se retrouver sur le dos. le secutor alors se place sur lui les pieds de part et d'autre du corps et enfonce son glaive dans le ventre du rétiaire. Le rétiaire résiste et soulève son torse tandis que se mains entourent l'avant-bras armé. mais rapidement le secutor tourne sa lame par deux fois dans le corps et le rétiaire pousse un râle tandis qu'il retombe lentement sur le dos, le secutor alors retire sa lame puis la plonge droite dans le coup du rétiaire qui se fige à son tour.

Les quatre vainqueurs restent debout, deux rétiaires et deux secutor, tandis que les corps sans vie son allongés de part et d'autre du corps du défunt sur le bûcher.

Le fils du maître et trois des convives s'approchent. Le mâle passe en revue les quatre mâles, leur tâte la verge chacun à leur tour jusqu'à sentir le jus gicler sur son avant-bras et regarder les corps vibrer de plaisir.
Puis chacun il dit au trois autres convive de choisir chacun un de mâles.
Les convives alors saisissent chacun un glaive et les gladiateurs n'ont pas le temps de réaliser que déjà les quatre lame s'enfoncent jusqu'à la garde dans leur corps. les mâles s'agrippant à leur exécuteur, ils résistent et  se crispent jusqu'à ce que leurs jambes ne les soutiennent plus et lentement ils glissent et s'allongent sur le sol, les mâles retirant leur lame, de leur ventre, leur tâte le cou et  sente encore le pou alors ils les égorge un par un proprement.

Les esclaves les aligne rejoignant ainsi les autres corps sur le bûcher, l'esclave tombé est également  déposé sur le bûcher. Là l'ensemble des corps est aspergé d'un enduis odorant et bien inflammable puis le fils du maître allume le bûcher qui petit à petit s'embrase. lentement les corps oint d'huile s'embrasent un par un.

Tandis que le feu fait son œuvre le fils du défunt et les convives festoient.

Funerary games (en)
The master of the gladiator school has just passed away.


For the occasion, his son decided to honour him with funeral games to honour his memory to prepare his trip.

The bodies of the chosen gladiators will accompany him on his final journey.

Gladiators rather young but already well trained and well fought, will fight in front of a restricted audience of friends and notables in the private arena.

The son wishes sacrifices, and he wishes that each of the young males first offer his seed which will be spread over the muscular body of his father a former gladiator himself.

The ten gladiators chosen therefore enter the battle area, where the funeral pyre was erected, at the top of which the naked body of his father sits, whose musculature is still to be seen, in loincloth whose eyes have been covered with a piece and the mouth also squeezing another piece for passage.

The gladiators line up unarmed and the master’s son reviews them and each one after the other at his request, grabs his limb and works it until a sigh of pleasure comes out of his mouth and a thick seed squirts. This being collected in a cauldron which filled slowly. The son is already filled and spreads the content himself on his father’s rose.

Then he had five tridents and nets and five swords and shields given to the gladiators.

The pairs are formed immediately and the guests move away so that the males are comfortable to move. Simply a bare-chested slave line is lined up between spectators and combatants in case the weapons deviated.

The son of the master, starts the fight.

The fighters immediately put themselves in position and the duels begin.

Of the five retiaria, only 3 are actually retiaria and the son saw them fighting and defeating their opponent without restraint, leaving them either alive or methodically giving them death.
Of those who have the same glaives in the males there are retiaries but without their favorite armament.

But the son of the master will offer the sacrifices because his will is that there be no survivor.

The fights start and the gladiators move with beauty and feel and watch for the moment, their limb striking against the inside of their thighs gets excited naturally and for some stretches, which makes the show more exciting.

Already, we can locate the pairs whose retiaries are accustomed, in front of them, the males resist, and in the first couple opposite it is a retiary but without trident. The two males know him well but there the retiary will have no mercy, He plays with his net and his trident and quickly his opponent even if he defends himself well has difficulty to avoid the multiple slight bites put handicapping which are inflicted to him sr the legs by the teeth of the trident. He jumps but despite attacks illuminates his sword is always deflected by either the teeth of the trident or hampe while the retiary spins and plates itself against the shield to protect itself. The retiary finalizing his response with blows under the shield to the lower limbs. the game continues for several more minutes but the gladiator with the sword begins to feel the wounds and is less and less stable on his wounded limbs which ooze with blood. The retiary looks at him greedily excited and suddenly simulates a new attack to the upper chest. The gladiator immediately raises his shield, and arms his sword, but the retiary makes his trident ripen against protection. The teeth slide against the shield and make their way below the protection while the sword moves forward. 
The retiary spins and with a stroke of a staff spreads the blade while directing its trident against the lower belly of the male. And there the retiary leaps forward, the drape plunging into the lower abdominals of the gladiator who immediately stretches out his head while he feels the irons plunge to the guard in his pelvis. He folds himself in two, dropping his sword. his right hand coming to hold the muscles now bloody, He freezes before falling to his knees while protecting himself with the shield. There, the retiary, with his trident, spreads the shield and while under him the gladiator stretches out his right arm towards him, He plunges the trident into his chest. A raucous sound comes out of the gladiator’s open mouth that stiffens. The retiary then with a kick spreads the body while it tears the trident. the gladiator collapses from a mass to the overturning with frozen open eyes.

The other gladiators are also in full combat, the body dance is beautiful, the audience and the son of the deceased admire.

In the second hen of gladiators, the retiary is not accustomed to its armament because usually it is a thracian, it attacks and plants several times the teeth of its trident in the shield which several times pierces resists, The secutor is lucky because his arm is not reached by the irons, he resists well and lets his opponent get excited. It attacks in its turn but its blade is clear each time by the stem of the hold that deviates it from its course. The secutor continues and is more than mobile, he recovers to force the retiary to move on him until his back almost touches the slave barrier that protects the assistance.
The retiary moves forward and tries to trick and reach the secutor to the lower limbs, but the gladiator falls down and adorns with the shield. The retiary straightens and recovers when the sword plunges towards it and scratches the centre of its two pectorals. the retiary raises the trident stem flat and in a rotational motion spreads the sword to the left, then kicks the parts of the secutor, which folds and pushes in a hoarse cry while backing. Then the retiary throws himself on him trident forward. But the secutor reacts well, it twists and ripens the teeth cutter the shield. The retiary in his ardour pushes on his weapon and advances until he is in close contact. There we hear a slave moaning when the trident’s teeth pierce his chest. The blow is fatal and the slave collapses with a mass while the retiary removes his weapon. But he is in hand-to-hand and secutor it, He protects himself with the shield while he arms his sword. The retiary can do nothing and rises on the tiptoes when the sword moves up from the abdominal muscles in the chest. The secutor immediately withdrawing his blade, a flow of blood squirts from the wound while the retiary remains standing mouth wide open shoulders in front arms tightened, but slowly he staggers and falls to his knees, Then secutor him does not cut his throat. The blood squirts out of the male’s open throat, which in turn falls face down.

In the third pair, the two fighters fight with ardour and precision, the blows rain adorned on both sides, the drawn and hot muscles of the males make the admiration of the guests who encourage the two males. They move in turn and back one after the other, forcing their movements to be shorter and as precise as possible. They fight well, but the retiary makes use of his net that flies over it a first time. The male first avoids the encirclement by the meshes and makes a side leap while the retiary brings back his net and rearms it while he throws his sorting which is trimmed and diverted by the sword. The retiary, in turn, shields the sword and locks it while it lifts its heel and hits the secutor in the pelvis with its heel. Security takes a hit and folds back. the net then flies again and this time succeeds in imprisoning the body of the secutor which recedes but can not so release. The retiary cuts both legs with the trident and the secutor falls on the buttocks upside down. The retiary then advances on him and arms his trident. He suddenly plunges the trident towards the secutor. Then we hear two loud, deep cries. The trident sinking into the body of the secutor which straightened and managed to extract the sword from the meshes. The sword then plunged into the middle of the abdominal muscles of the retiary, which literally impaled itself on it. The secutor falls on his back while the retiary falls on his knees, knees on both sides of his body before collapsing and lying down on him. Both bodies are seized by convulsions and the two males go out in their last embrace.

In the fourth hen, the retiary is experienced and the unfamiliar security of habitual handling of the sword. the retiary makes him juggle and jump at his mercy and has fun with excited he blindfolds and the trident hurts the secutor by gently pricking him to hurt him and make him suffer. He strains his jaws and tries to attack, but knows that he does not have the upper hand and feels weakened by the stings that allow him to ooze filaments of blood along his warm muscles. the retiary continues its play and makes the secutor dance for several more minutes then with a net shot thrown horizontally, the retiaire succeeds in encircling the legs of the secutor, There the retiaire with a trident shot well placed against the shield, forces the secutor to camber. The retiary advances on the unbalanced secutor which tries to hit him, but the retiary pulls the net and the secutor collapses a mass on the back. The retiary without delay is upright on it and the trident plunges into the chest, the teeth plunge into the pectorals, breaking the ribs and sink with a blow into the chest of the secutor which stretches the head and opens wide the mouth and the eyes. The heart is crossed and the retiary moves the trident to finish his victim who spits out all his blood. The secutor expires arms and legs in cross

In the fifth pool, the secutor is skillful and very agile, he takes the upper hand and plays with his shield and his sword to fend off and repel the retiary who fights relentlessly but backs away to try to be comfortable.
The retiary flips on itself but the secutor does not give him the opportunity to hurt him.  The Secutor looking for hand-to-hand, the retiary throws his trident and still does not reach his target, he tries to use his net, but the safety plate against the ground firmly, forcing the retiary to bend down. the retiary then tries to prick that belly secutor, but with a blow of shield down, the secutor spreads his two legs and the trident passes between his legs. The secutor then gives a violent kick in the plexus of the retiary which lifts up on the toes while bending in half, breathless. The secutor is now against him and pulls up his knee once in the balls and then a new faith his knee in the middle of the abdominals. The blow is so powerful that the knee seems to pass through the belly of the retiary. The retiary then collapses and rolls on the ground to find itself on the back. Then the secutor places his feet on either side of the body and sinks his sword into the belly of the retiary. The retiary resists and lifts its torso while its hands surround the armed forearm. But quickly secutor it turns its blade twice in the body and the retiary pushes a rail while it falls slowly on the back, then secutor it then removes its blade and then plunges it straight into the blow of the retiary which freezes in its turn.

The four victors remain standing, two retiaries and two secutor, while the lifeless bodies are stretched out on either side of the body of the deceased at the stake.

The master’s son and three of the guests approached. The male reviews the four males, feels their penis in turn until he feels the juice squirting on his forearm and watching the bodies vibrate with pleasure.
Then each one tells the other three guests to choose each one of the males.
The guests then each grab a sword and the gladiators do not have time to realize that already the four blades are sinking to the guard in their body. the males cling to their executioner, they resist and tense until their legs no longer support them, and slowly they glide and lie on the ground, the males pulling back their blade, from their bellies, feel their neck and still feel the lice so they cut them one by one cleanly.

The slaves lined them up to join the other bodies at the stake, and the fallen slave was also laid at the stake. There the whole body is sprinkled with a fragrant and highly flammable coating then the master’s son lights the pyre which gradually ignites. Slowly the oil-anointed bodies burn one by one.

While the fire does its work the son of the deceased and the guests feast.
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